Danse du sabre, danse du ventre
Le nouveau Sultan a-t-il raison de prendre les Occidentaux pour des pleutres amnésiques ? Anticipant la défaite de Donald Trump et un éventuel refroidissement de ses relations avec l’administration américaine, bien qu’elle se soit toujours montrée bienveillante à son égard, la diplomatie turque se livre depuis la fin de l’année dernière à l’un de ses numéros les mieux rodés après la danse du sabre (dont elle vient d’assurer une brillante prestation au Haut-Karabakh) : la danse du ventre. But de cette énième opération de séduction : endormir les esprit...
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