ENMOIRE Rubrique

Haïk, l’Arménie au cœur, par Denis Donikian


Son prénom était Gabriel (une référence à l’Ange dont il était fier) ou Gaby, mais en milieu arménophone, il était Haïk qu’il prononçait Hayk.
Le matin de sa disparition (le 16 mai), je lui avais écrit pour lui demander de ses nouvelles, sachant qu’il était gravement malade. C’est son fils Laurent qui m’a répondu, me disant que son père venait de s’éteindre alors qu’il lui parlait de l’Arménie. Au restaurant après que ce triste message s’est affiché sur mon téléphone, le plaisir n’y était plus.
Un peu plus tard, m’est venu ce vers : «









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