EDITORIAL Rubrique

Génocide : après les vivants, les morts


Les autorités turques sont-elles derrière le dynamitage le 18 septembre dernier du mémorial du génocide arménien de Deir Es-Zor dans le Nord de la Syrie ? La main djihadiste qui a détruit l’unique lieu de mémoire dédié aux Arméniens sur les terres où ils ont été massacrés a-t-elle obéi à un cerveau ottomaniste ? Les fanatiques religieux n’ont certes pas besoin d’être poussés pour aller toujours plus loin dans l’horreur. Ils se débrouillent très bien tout seuls. Mais comment oublier le précéd...









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