EDITORIAL Rubrique

Tout ça pour ça


Cruelle situation que celle laissée par la dernière guerre au Haut-Karabakh. Le sang n’avait pas encore séché que les dirigeants des pays belligérants se voyaient sommés de se rencontrer à Moscou le 11 janvier pour dessiner les contours économiques du futur Caucase que l’on nous promet rayonnant.
Comme quoi, quand Poutine souhaite aller vite, ce qui n’a pas été le cas durant les six semaines du conflit, il sait faire. On le constate depuis au moins le 9 novembre, date de la signature du cessez-le-feu, qui s’est traduit par l’envoi de 2000 soldats russes sur la ligne...









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