LE MONDE Rubrique

Alain Terzian, le parrain déchu des Césars


On lui reprochait non seulement sa gestion autocratique et opaque, mais surtout de ne pas avoir pris en compte les voix qui réclament davantage de diversité.

Alain Terzian n’a plus d’appétit. Il n’a pas touché à sa choucroute. Ni à son mille-feuille. Ce lundi 10 février, il déjeune chez Lipp, la brasserie historique de Saint-Germain-des-Prés, en compagnie de François-David Cravenne, le fils de Georges, créateur des Césars en 1976, et de Christophe Tardieu, ancien numéro 2 du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC). Le président de l’Académie ...









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