A Martine Hovanessian, par Georges Festa
Je retiens son regard à la fois passionné et blessé,
ses ecrits tentant de reconstituer la trame rompue sans s’y enfermer,
et surtout ses dialogues avec d’autres diasporas dont les miennes –
Martine etait une passeuse d’espoir et de parole,
cette écharpe d’Iris qui sauve des tentations faciles de l’oubli et de la
manipulation
– aux enfers il y aura toujours un.e Orphee sauvant les mille et un.e
Eurydices que nous sommes.
Georges Festa
par
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le mercredi 24 juillet 2019© armenews.com 2024