EDITORIAL Rubrique

« No fly zone »


Les jours passent, mais rien n’y fait : la crise humanitaire ne cesse de s’aggraver en Artsakh. Pourtant, certains signes montrent le début d’une prise de conscience internationale sur le drame qui en train de se nouer. Les mots particulièrement forts utilisés par Luis Moreno Ocampo, premier procureur de la Cour Pénale Internationale, n’y sont sans doute pas pour rien. Dans un rapport publié le 8 août, ce grand juriste invoque « l’article II, (c) de la Convention sur le génocide : le fait d’infliger intentionnellement au grou...









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